L'Arche des Mots épisode 13

6 Septembre 2007

Rédigé par pol et publié depuis Overblog

cueillette du 6 septembre

Sujétion : Sumi http://zephirin.dupont.over-blog.fr/

Gap : Rat http://ajouter-un-commentaire.over-blog.com/

Dérager : Nymphea http://delamarre.biz/

Barbe à Papa : Gold http://aupres-de-mon-arbre.over-blog.com/

Ténor : Kermamini http://kermamini.over-blog.com/

Belle lurette : Anneso http://anso-bidouilles.over-blog.org/

Denier : Dany http://ionard.over-blog.org/

Pavane : Lyskald http://lyskald.over-blog.com/

Parade : Gaby http://miniter.over-blog.com/

Bouillotte : Pol http://un-jour-un-evenement-un-mot.over-blog.fr

Pavane: ancienne danse
Gap: fossé, écart , trou, déficit
Dérager: laisser retomber sa colère
Sujétion : soumission , dépendance

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celine

07/09/2007 19:58

un petit passage pour souhaiter un bon week-end;-) Bizzz Céline

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Lyskald

07/09/2007 15:45

Si ce n'est pas trop tard pour aujourd'hui, je propose "Nébuleuse", parce s'il faut garder les pieds sur terre autant avoir la tête dans les étoiles! A plus, Lys.

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Infovite

07/09/2007 15:32

Parfait,parfait,Nymphéa! Ton collègue de délires... Gros bisous! A+.

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nymphéa

07/09/2007 15:17

bien,bien, infovite! ta collègue de délires...

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Infovite

07/09/2007 14:37

Merci Pol. A+.

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myrtille

07/09/2007 14:30

coucou, oui effectivement Myrtille n'a pas trop la peche en ce moment en plus j'ai la creve alors ça n'arrange rien. Bonne journée

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Cali :0002:

07/09/2007 14:28

Aujourd'hui pour moi, ce sera "frasque" parce qu'on ne les compte plus celles de Calinette! :0036: Bon aprèm' Pol Bisous :0010:

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Infovite

07/09/2007 14:22

Tison,pour ne pas taire notre flamme.

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D'Ocean

07/09/2007 14:01

Dans un vieux bouquin(1834) j'ai trouvé ce mot "malandrinage"qui serait l'ancêtre de maffia, mais plus raffiné..de malandrin=bandit.

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Infovite

07/09/2007 13:45

Un ténor résidant à Gap, vivant dans une onéreuse mais ô combien délicieuse sujétion vis à vis des barbes à papa, se retrouvait depuis belle lurette sans un seul denier, ce gap entre sa gourmandise et ses économies « sucrées » par les commerçants l’empêchait de dérager et sa colère aussi chaude qu’une bouillotte l’obligeait à une pavane de désespoir devant les marchands ambulants qui dubitatifs, quant aux raisons de cette parade quotidienne, se grattaient ostensiblement la barbe.

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pol

07/09/2007 14:24

quel bel excercice encore une fois